Dans un geste inattendu qui a fait hausser bien des sourcils, le président Emmanuel Macron a annulé sa visite prévue à la Grande Mosquée de Paris. Cette visite, censée être un message de “paix” à la communauté algérienne, s’est transformée en une comédie politique aux accents burlesques.
La version officielle ? Des “conseils avisés” de son entourage sur le risque que la visite ne se transforme en meeting politique ! En clair, Macron a préféré éviter tout lieu où l’on pourrait croire qu’il soutient le “président de la mosquée”. Avait-il peur que la mosquée devienne une arène électorale ? Peut-être bien.
Ce qui est curieux, c’est que le président était prêt à modifier son agenda discrètement, au nez et à la barbe de son ministre de l’Intérieur, en quête des voix de l’extrême droite. Mais à la dernière minute, il aurait reculé, comme si quelqu’un lui avait soufflé : “Attention, entrer dans la mosquée sans ablutions pourrait annuler les élections !”
Résultat ? Une visite annulée, comme un jeu de tir à la corde politique que Macron ne voulait pas perdre maintenant. Car les Algériens de France sont un trésor électoral qu’il ne faut pas négliger. Le message est clair : mettons les problèmes de côté et concentrons-nous sur le café et les croissants.
En résumé, il semble que le président ait préféré ne pas se brûler les doigts avec des postures trop risquées, et ait choisi de battre en retraite, comme pour dire : “Je reste loin de tout ce qui complique… Et n’oubliez pas, la France est un pays laïque. Surtout en période électorale !”